Je faisais ma balade quotidienne le long du Rhône, des couples, des enfants, plein de personnes se promènent à cette heure ci. Il était 20 :30. Je revenais à ma voiture après avoir déambulé une bonne heure.
Et là deux femmes devant leur voiture avec une roue crevée. Bien sur je me propose de les aider à changer celle-ci. L’une brune, grande, mince, belle poitrine haute, très BCBG, en tailleur gris me dit :
-vous êtes bien aimable mon brave. Faites donc.
L’autre est blonde, pulpeuse, un chemisier blanc tendu par une poitrine généreuse, une jupe courte bien remplie. Mais un air timide, effacée, un regard fuyant.
Je change la roue de la Mercédès, sans problèmes en 10 mn. Pendant ce temps là la brune fumait tranquillement en faisant des allers retours doucement me regardant de temps en temps d’un air hautain.
-Et voila madame vous pouvez repartir, tout va bien.
- Merci beaucoup monsieur … ?
- Félix .
- Et bien Félix si vous le désirez, venez chez nous boire un verre pour vous remercier et faire connaissance. Anita se fera un plaisir de vous servir, n’est pas Anita ?
- Oui Madame, bien sur.
- Merci pour cette invitation, de plus ma soirée est libre.
Je monte dans ma voiture et les suis. Nous roulons une dizaine de Km, arrivons dans une propriété avec une grande maison XIX siècle. Je me gare, et suis mes hôtesses à l’intérieur.
Une grande maison bourgeoise en très bon état. La « Madame » me fait rentrer dans un salon investi de canapés de sofas de fauteuils de tables basses.
-Veuillez vous assoir Félix, Nous avons des Alcools forts, des jus de fruit, en fin de tout il y a.
- Je veux bien un Wiski sans glaçons.
- Anita, pour moi un Bourbon. Et dépêches toi. Je ne veux pas attendre.
-Ha, j’oubliais, habilles toi en serveuse.
Le temps que Anita reviennes, nous parlons du temps, de la maison.
- Et vous avez une femme ou une amie ?
- Oui, je suis marié depuis 11 ans.
-Et vous êtes heureux avec elle ?
Sentant là une avance masquée, je me mets à parler de mon couple.
-Ma femme est un peu effacée, soumise et j’aimerai qu’elle ait plus de caractère.
- Ha alors vous aimeriez être un peu dominé ? C’est ça ?
-vous êtes bien aimable mon brave. Faites donc.
L’autre est blonde, pulpeuse, un chemisier blanc tendu par une poitrine généreuse, une jupe courte bien remplie. Mais un air timide, effacée, un regard fuyant.
Je change la roue de la Mercédès, sans problèmes en 10 mn. Pendant ce temps là la brune fumait tranquillement en faisant des allers retours doucement me regardant de temps en temps d’un air hautain.
-Et voila madame vous pouvez repartir, tout va bien.
- Merci beaucoup monsieur … ?
- Félix .
- Et bien Félix si vous le désirez, venez chez nous boire un verre pour vous remercier et faire connaissance. Anita se fera un plaisir de vous servir, n’est pas Anita ?
- Oui Madame, bien sur.
- Merci pour cette invitation, de plus ma soirée est libre.
Je monte dans ma voiture et les suis. Nous roulons une dizaine de Km, arrivons dans une propriété avec une grande maison XIX siècle. Je me gare, et suis mes hôtesses à l’intérieur.
Une grande maison bourgeoise en très bon état. La « Madame » me fait rentrer dans un salon investi de canapés de sofas de fauteuils de tables basses.
-Veuillez vous assoir Félix, Nous avons des Alcools forts, des jus de fruit, en fin de tout il y a.
- Je veux bien un Wiski sans glaçons.
- Anita, pour moi un Bourbon. Et dépêches toi. Je ne veux pas attendre.
-Ha, j’oubliais, habilles toi en serveuse.
Le temps que Anita reviennes, nous parlons du temps, de la maison.
- Et vous avez une femme ou une amie ?
- Oui, je suis marié depuis 11 ans.
-Et vous êtes heureux avec elle ?
Sentant là une avance masquée, je me mets à parler de mon couple.
-Ma femme est un peu effacée, soumise et j’aimerai qu’elle ait plus de caractère.
- Ha alors vous aimeriez être un peu dominé ? C’est ça ?
Et là sans réfléchir, une pulsion, je dis
-OUI, je pense que j’en ai besoin.
Je sens une bouffée de chaleur, ma gorge se serre, je regarde mes souliers. Je viens de basculer dans ma pulsion de mauvais élève, qui veut être puni. Je ne sais plus quoi faire, m’en aller, rester.
Madame lit mon désarroi, se lève, vient vers moi et gentiment me dit :
- Regardez moi Félix, Je crois que nous allons nous entendre.
- Anita, tu vas être en retard pour nous servir, et comme tu sais, tu ne perds rien à attendre.
Anita vêtue d’une tenue de soubrette, Les seins voulant s’échapper de leur prison. Une petite robe bleue qui cache ses belles fesses dodues si elle ne se baisse pas.
- Regardez moi Félix, Je crois que nous allons nous entendre.
- Anita, tu vas être en retard pour nous servir, et comme tu sais, tu ne perds rien à attendre.
Anita vêtue d’une tenue de soubrette, Les seins voulant s’échapper de leur prison. Une petite robe bleue qui cache ses belles fesses dodues si elle ne se baisse pas.
Elle portait un plateau avec nos boissons et des olives, et … un martinet. Une nouvelle bouffée de chaleur m’envahit. Elle nous servi nos boissons respectivement.
- Et bien pour cette roue changée, et pour notre rencontre, buvons.
Nous bûmes une gorgée de cet alcool, et je me senti peu mieux. Anita restait debout regardant le martinet resté sur le plateau.
- Bien, Anita tu sais, alors prépares toi.
Anita pris le martinet et le donna à madame, puis se tourna et se coucha en travers d’un fauteuil en nous présentant son postérieur charnu et rebondi, et ses fesses étaient nus.
-Punissez moi Maitresse car je vous ai fait attendre, je le mérite.
Madame se leva s’approcha de Anita, lui caressa les fesses et l’entre cuisses bien ouvertes.
- Et bien pour cette roue changée, et pour notre rencontre, buvons.
Nous bûmes une gorgée de cet alcool, et je me senti peu mieux. Anita restait debout regardant le martinet resté sur le plateau.
- Bien, Anita tu sais, alors prépares toi.
Anita pris le martinet et le donna à madame, puis se tourna et se coucha en travers d’un fauteuil en nous présentant son postérieur charnu et rebondi, et ses fesses étaient nus.
-Punissez moi Maitresse car je vous ai fait attendre, je le mérite.
Madame se leva s’approcha de Anita, lui caressa les fesses et l’entre cuisses bien ouvertes.
.... à suivre...